Google utilise une multitude de facteurs pour déterminer comment classer les résultats des moteurs de recherche. En règle générale, ces facteurs sont soit liés au contenu de la page Web elle-même (le texte, son URL, les titres et en-têtes, etc.), soit sont des mesures concernant l’authenticité du site Web (âge du nom de domaine, nombre et qualité de liens entrants, etc.). Cependant, depuis 2010 (ça en fait des années !!), Google a annoncé que la vitesse du site Web commencerait à avoir un impact sur le positionnement dans les moteurs de recherche. Désormais, la vitesse à laquelle quelqu’un pourrait voir le contenu d’un résultat de recherche est un facteur important.
Malheureusement, la définition exacte de la « vitesse du site » est restée ouverte à l’interprétation. Le mystère s’est encore élargi, lorsque Matt Cutts de Google a annoncé que par rapport au positionnement dans les moteurs de recherche, les sites mobiles lents seraient aussi encore plus pénalisés.
Il est clair que Google agit de plus en plus sur ce qui est intuitivement évident :
Un site Web peu performant entraîne une expérience utilisateur médiocre, et les sites avec une expérience utilisateur médiocre méritent d’être moins mis en valeur dans les résultats de recherche.
Comment Google agit-il exactement ? Et comment cela joue-t-il sur le positionnement dans les moteurs de recherche ?
Bien que Google ait décidé de ne pas préciser quel aspect particulier de la vitesse de la page peut avoir un impact sur le positionnement dans les moteurs de recherche, il a été assez clair en déclarant que la pertinence du contenu reste un facteur essentiel. En d’autres termes, bien que nous puissions démontrer une corrélation (ou son absence) entre des métriques de vitesse particulières et le positionnement dans les moteurs de recherche, nous ne pourrons jamais prouver une relation de causalité, car d’autres facteurs non mesurables entrent toujours en jeu. Pourtant, à large échelle, nous pouvons émettre l’hypothèse que toute corrélation découverte a une « influence probable » sur le positionnement dans les moteurs de recherche et mérite donc d’être prise en considération.
Pour commencer notre recherche, nous avons créé une liste de 2000 requêtes de recherche aléatoires en nous basant sur une étude récente sur les facteurs de classement. Nous avons sélectionné un échantillon représentatif de requêtes. Certaines ne contiennent qu’un seul terme de recherche, comme « TvHd », d’autres jusqu’à cinq, comme « boutiques outlet mall à paris ». Nous avons ensuite extrait les 50 URL des résultats de recherche les mieux classées pour chaque requête afin d’assembler une liste de 100 000 pages au total à évaluer.
Ensuite, nous avons lancé 30 « petites » instances EC2 Amazon s’exécutant dans un cloud en Virginie du Nord aux Etats-Unis, chacune chargée avec une instance privée identique de l’outil open source WebPageTest. Cet outil utilise les mêmes versions de navigateurs Web utilisées en général par les consommateurs dans le but de collecter plus de 40 métriques de performances différentes concernant le chargement d’une page Web.
Nous avons sélectionné Chrome pour notre test et nous avons exécuté chaque page testée avec un cache vide pour garantir des résultats cohérents.
Bien que nous ayons capturé plus de 40 métriques de pages différentes pour chaque URL examinée, la plupart n’ont pas montré d’influence significative sur le positionnement dans les moteurs de recherche.
Cela était largement attendu, car (par exemple) le nombre de connexions qu’un navigateur Web utilise pour charger une page ne devrait probablement pas avoir d’incidence sur la position dans le classement de recherche. Par souci de brièveté, dans cette section, nous allons simplement souligner les résultats particulièrement remarquables.
Lorsque les gens disent « temps de chargement de la page » pour un site Web, ils indiquent généralement l’une des deux mesures suivantes : « temps document complet » ou « temps rendu entier ».
Considérez le « temps document complet » comme le temps qu’il faut à une page pour se charger avant de pouvoir commencer à cliquer ou à saisir des données. Tout le contenu n’est peut-être pas encore là, mais vous pouvez interagir avec la page.
Pensez au « temps rendu entier » comme au temps nécessaire pour télécharger et afficher toutes les images, publicités et indices analytiques. Ce sont tous les éléments de la page, les « éléments d’arrière-plan » que vous voyez apparaître lorsque vous faites défiler une page.
Étant donné que Google n’était pas clair sur la signification du temps de chargement de la page, nous avons examiné à la fois les effets du « temps document complet » et du « temps rendu entier » sur le positionnement dans les moteurs de recherche. Cependant, notre plus grande surprise est venue suite au manque de corrélation entre les deux indicateurs clés ! Nous nous attendions à ce que ces deux métriques aient clairement un impact sur le positionnement dans les moteurs de recherche. Cependant, nos données ne montrent pas de corrélation claire entre le « temps document complet » et le « temps rendu entier » par rapport au positionnement dans les moteurs de recherche, comme vous pouvez le voir dans le graphique ci-dessous :
L’axe horizontal mesure la position d’une page dans les résultats de recherche, tandis que l’axe vertical est le temps médian capturé pour les 2000 termes de recherche différents utilisés dans l’étude. Donc, en d’autres termes, si vous insérez les 2000 termes de recherche dans Google un par un, puis cliquez sur le premier résultat pour chacun, nous mesurerons le temps de chargement de chaque page, puis calculons la médiane pour la première position. Ensuite, il faudra répéter la même chose pour le deuxième résultat, le troisième, et ainsi de suite jusqu’au cinquantième.
Nous nous attendions à ce que ce graphique ait une tendance claire « vers le haut et vers la droite », car les pages très bien classées devraient avoir un « temps document complet » ou « temps rendu entier » plus bas. Le rendu des pages ayant un lien avéré avec la satisfaction des utilisateurs et les conversions de ventes (nous y reviendrons plus tard), étonnamment, nous n’avons pas pu trouver de corrélation claire avec le positionnement dans ce cas.
En l’absence de corrélation entre le positionnement dans les moteurs de recherche et ce qui est traditionnellement considéré comme un « temps de chargement de page », nous avons étendu notre recherche au Time to First Byte (TTFB).
Cette métrique mesure combien de temps est nécessaire à votre navigateur pour recevoir le premier octet d’une réponse d’un serveur d’hébergement lorsque vous demandez une URL particulière. En d’autres termes, cette métrique englobe la latence du réseau d’envoi de votre demande au serveur Web, le temps que le serveur Web a passé à traiter et à générer une réponse, et le temps nécessaire pour renvoyer le premier octet de cette réponse depuis le serveur à votre navigateur.
Le TTFB est le temps qui englobe à la fois le temps de réponse du serveur et le temps de transmission de cette réponse à votre navigateur.
Le graphique du TTFB médian pour chaque position dans le classement des moteurs de recherche est présenté ci-dessous :
Le résultat du TTFB était surprenant car une corrélation claire a été identifiée entre la diminution du rang dans le classement des moteurs recherche et l’augmentation du TTFB.
Les sites qui ont un TTFB inférieur répondent plus rapidement et ont des résultats de recherche plus élevés que les sites plus lents avec un TTFB plus élevé. De toutes les données que nous avons identifiées, la métrique TTFB avait le plus fort effet de corrélation, ce qui implique une forte probabilité d’influence sur le positionnement dans les moteurs de recherche.
Nous pouvons donc dire que le TTFB est plus important que le temps de chargement du contenu de la page. Et nous constatons en même temps que le TTFB a un forte influence particulièrement sur les résultats de la première page de résultats, c’est à dire les 10 premières position.
Le résultat surprenant ici était la taille médiane de chaque page Web, en octets, par rapport à la position dans le classement des moteurs de recherche.
Par « taille de page », nous entendons tous les octets qui ont été téléchargés pour afficher entièrement la page, y compris toutes les images, publicités, widgets tiers et polices.
Lorsque nous avons représenté graphiquement la taille médiane de la page pour chaque position dans le classement des moteurs de recherche, nous avons trouvé une corrélation contre-intuitive entre la diminution de la taille de la page et la diminution de son rang, avec une baisse anormale dans les 3 premiers rangs.
Ce résultat nous a déconcertés au début, car nous n’anticipons aucune relation réelle ici. Après plus de réflexion, nous avons abouti à une théorie : les sites de rang inférieur appartiennent souvent à des entreprises plus petites avec moins de ressources et, par conséquent, elles peuvent avoir moins de contenu et de complexité dans leurs sites.
Au fur et à mesure qu’on monte dans le classement, la complexité s’intensifie également, à l’exception des « big boss » au sommet qui ont un budget souvent conséquent pour optimiser fortement leur référencement naturel.
Pensez à Amazon en comparant avec un détaillant de produits électroniques pour PME ou avec une entreprise familiale. Nous n’avons vraiment aucune preuve définitive appuyant cette théorie, mais elle correspond à la fois aux données et à notre propre intuition.
Comme notre analyse de la taille totale de la page nous a surpris, nous avons décidé d’examiner la taille médiane, en octets, de toutes les images chargées pour chaque page, par rapport au positionnement dans les moteurs de recherche.
À part un pic important dans les deux premiers classements, les résultats sont plats et intéressants dans tous les classements restants.
Bien que nous ne nous attendions pas à un niveau de corrélation élevé ici, nous nous attendions quand même à un certain niveau de corrélation, car les sites avec plus d’images se chargent plus lentement. Étant donné que cette métrique est étroitement liée au temps de rendu complet mentionné ci-dessus, le fait que la courbe soit également plate confirme les conclusions selon lesquelles le temps de chargement de la page n’a probablement pas d’incidence sur le positionnement dans les moteurs de recherche.
Nos données montrent qu’il n’y a pas de corrélation entre le temps de chargement de la page (document complet ou entièrement rendu) et le classement sur les pages des résultats de recherche de Google. Ceci est vrai non seulement pour les recherches génériques (un ou deux mots clés), mais aussi pour les recherches « longue traîne » (4 ou 5 mots clés). Nous n’avons pas vu de sites Web avec des temps de chargement de page plus rapides se classant plus haut que les sites Web avec des temps de chargement de page plus lents de manière cohérente.
Si le temps de chargement de la page est un facteur qui affecte le positionnement dans les moteurs de recherche, il se perd dans le bruit d’autres facteurs. Nous avions espéré voir une corrélation, en particulier pour les requêtes génériques d’un ou deux mots. Notre conviction était que la forte concurrence pour les recherches génériques ferait ressortir davantage de petits facteurs tels que la vitesse des pages mais ce n’est pas le cas.
Cependant, nos données montrent qu’il existe une corrélation entre les métriques TTFB (time-to-first byte) plus faibles et les classements plus élevés des moteurs de recherche.
Les sites Web avec des serveurs et une infrastructure de base capables de fournir rapidement du contenu Web avaient un classement de recherche plus élevé que ceux qui étaient plus lents.
Cela signifie que, malgré ce qu’on pense, ce sont les performances de la partie back-end du site Web et non les performances de la partie frontend du site Web qui ont un impact direct sur le classement d’un site Web dans les moteurs de recherche. La question est donc pourquoi ?
Le TTFB est probablement l’indicateur le plus facile et le plus rapide à identifier par Google. Les différents robots d’exploration de Google pourront tout prendre en compte ce paramètre. La collecte de documents complets ou entièrement rendus nécessite un navigateur complètement chargé. De plus, le « temps document complet » et le « temps rendu entier » dépendent presque autant des capacités du navigateur chargeant la page que de la conception de la structure et du contenu du site Web. L’utilisation du TTFB pour déterminer les « performances » ou la « vitesse » pourrait peut-être s’expliquer par le temps et les efforts nécessaires afin de saisir ces données à partir du robot d’exploration de Google. Néanmoins, nous soupçonnons qu’à l’avenir le temps de chargement de la page sera également pris en compte dans le classement à cause de l’importance de l’expérience utilisateur.
Non seulement le TTFB est facile à calculer, mais c’est également une mesure raisonnable pour évaluer les performances d’un site entier. Le TTFB est affecté par 3 facteurs :
Les sites Web peuvent réduire la latence du réseau en utilisant des réseaux de distribution de contenu (CDN). Les CDN peuvent fournir rapidement du contenu à tous les visiteurs, souvent indépendamment de leur emplacement géographique et de manière considérablement accélérée. Évidemment, la raison même pour laquelle ces sites Web sont si bien classés pourrait être la raison pour laquelle ils ont besoin d’avoir recours à des serveurs haute capacité, ou d’utiliser des CDN, ou encore d’optimiser leur application et leur base de données.
Ces sites Web sont-ils bien classés parce qu’ils ont une meilleure infrastructure back-end que les autres sites ? Ou ont-ils besoin d’une meilleure infrastructure back-end pour gérer la charge due au fait qu’ils sont déjà les mieux classés ? Bien que les deux soient possibles, notre conclusion est que les sites avec des back-ends plus rapides obtiennent un rang plus élevé, et non l’inverse.
Nous avons basé cette conclusion sur le fait que les requêtes très spécifiques avec quatre ou cinq termes de recherche ne génèrent pas de résultats pour les sites Web à fort trafic. Les recherches « longue traîne » concernent généralement des sites plus petits qui sont gérés par des entreprises beaucoup plus petites. Elles portent sur des sujets très spécifiques qui ne reçoivent pas de gros volumes de trafic nécessitant des environnements complexes de dizaines de serveurs.
Cependant, même pour ces sites plus petits, les sites Web rapides avec un TTFB inférieur sont systématiquement mieux classés que les sites plus lents avec un TTFB plus élevé.
Les performances de la partie back-end d’un site Web ont un impact direct sur le positionnement dans les moteurs de recherche.
La partie back-end comprend les serveurs Web, leurs connexions réseau, l’utilisation de CDN et les serveurs d’applications et de bases de données back-end. Les propriétaires de sites Web devraient explorer les moyens leur permettant d’améliorer leur TTFB. Cela inclut l’utilisation de CDN, l’optimisation du code de votre application, l’optimisation des requêtes de base de données et la garantie de disposer de serveurs Web rapides et réactifs.
Commencez par mesurer votre TTFB avec l’outil officiel de Google Page Speed Insight, ainsi que le TTFB de vos concurrents, pour voir comment vous devez vous améliorer.
Bien que nous ayons constaté que les facteurs de performance du front-end (temps document complet et temps rendu entier) ne sont pas directement pris en compte dans le classement des moteurs de recherche, ce serait une erreur de supposer qu’ils ne sont pas importants ou qu’ils n’affectent pas le positionnement dans les moteurs de recherche d’une autre manière.
À la base, les performances de la partie front-end sont axées sur la création d’une expérience utilisateur rapide, réactive et agréable. Il y a littéralement une décennie de recherche menée par des experts en convivialité et par des analystes sur la façon dont les performances Web affectent l’expérience utilisateur. Les sites Web rapides ont plus de visiteurs. Ces derniers visitent plus de pages pendant une période plus longue et ils reviennent plus souvent. Ils sont également plus susceptibles d’acheter des produits ou de cliquer sur des publicités.
En bref, des sites Web plus rapides rendent les utilisateurs heureux et ces utilisateurs satisfaits font la promotion de votre site Web par le biais de liens et de partage. Tous ces éléments contribuent à améliorer le positionnement dans les moteurs de recherche.
Comme nous l’avons vu, les performances de la partie back-end et du TTFB sont directement liées au positionnement dans les moteurs de recherche. Les performances de la partie front-end et les mesures telles que « document chargé » et « document entièrement rendu » ne montrent aucune corrélation avec le positionnement dans les moteurs de recherche. Il est possible que les effets soient trop faibles pour être détectés par rapport à tous les autres facteurs de classement.
Cependant, comme nous l’avons expliqué, les performances du front-end ont un impact direct sur l’expérience utilisateur, et une bonne expérience utilisateur facilite le type de comportement qui améliore le positionnement dans les moteurs de recherche. Si vous vous souciez de votre classement dans les moteurs de recherche et de l’expérience de vos utilisateurs, vous devriez améliorer les performances front-end et back-end de votre site Web.
Cette tendance se voit dès aujourd’hui dans le rapport de Google Speed. L’outil prend en compte de plus en plus les critères Front End, et la note de Google Speed est de plus en plus influencée par ces critères.
Si vous mesurez votre note Google Speed aujourd’hui, nous pouvons vous garantir que vous allez la voir baisser petit à petit au fil des semaines alors que la performance de votre back end est stable.
Comme Google privilégie de plus en plus l’expérience utilisateur, la performance du Front End sera, dans un futur très proche, prise en considération incontestablement dans le classement de résultats de recherche.
Telles les petites secousses annonciatrices d’un futur tremblement de terre, la note de Google Speed est annonciatrice des prochains changements dans les critères de classement sur Google…
ExcellentBasée sur 22 avisTrustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.pierre lenfantAurone est un agence web comme on n'en fait plus ! Très réactive, d'une grande souplesse dans le travail et toujours à la pointe de la technologie, vous pouvez compter sur de vrais pros pour tous vos projets web !Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Sami Yassine TurkiJ'ai eu un plaisir à travailler, en tant que secrétaire général de l'association Lina Ben Mhenni, avec l'agence AURONE qui a assuré avec beaucoup de professionnalisme le développement de notre site web.Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Gwladys LavergneRéactifs, attentifs, et très compétents nous sommes ravies de travailler avec Aurone qui sait parfaitement répondre à nos attentes que ce soit en terme de design graphique ou bien dans leurs compétences techniques ! Je recommande vivement leur accompagnement !Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Perrine AmalAurone est une entreprise humaine, réactive et efficace. Travaux réalisés rapidement et avec célérité. Je recommande vivement et espère poursuivre cette collaboration à l'avenir.Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Stephanie WillmanNous travaillons avec Aurone dans le cadre de notre travail depuis 2016 et en sommes ravies. Au début nous avons commencer à solliciter leurs services pour un projet en Tunisie, et la qualité de leur travail a fait que nous sollicitons Aurone même pour des services dans d'autres pays. L'équipe est dynamique, créative, réactive et enthousiaste. Ils ont toujours bien compris nos besoins pour nos diverses et complexes présences web, et font de leur mieux pour y répondre. Plateformes web, ateliers de formation sur les plateformes, vidéos tutoriels, et conception graphique de divers produits ne sont que quelques uns des excellentes services fournies par Aurone. La qualité technique des prestations web sont top et nous recevons toujours de bons conseils que ce soit au niveau technique que graphique. Nous les recommandons fortement.Trustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Raphaël GianassoPour vos projets e-commerce et marketing digital, les collaborateurs d'Aurone font preuve d'écoute, d'expérience, de disponibilité et de réactivité. Une équipe sur laquelle on peut compter et pour laquelle la satisfaction du client est primordialeTrustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Samuel DechometsJ'ai trouvé chez Aurone tout ce que l'on peut attendre d'une bonne agence web : qualité, réactivité, souplesse, pertinence... Bravo et merciTrustindex vérifie que la source originale de l'avis est Google.Karim DjebbarL'ensemble de notre réseau a travaillé pendant plusieurs années avec l'agence Aurone. Quelques réglages ont été nécessaires au début de notre partenariat à l'époque. La qualité a rapidement été au rendez-vous. Les équipes ont travaillé de façon très professionnelle, et adaptée aux exigences de la clientèle française avec qui nous les avons rapidement mis en relation. Beaucoup d'agilité de la part de son fondateur. Merci pour ces belles années !
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